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Ultra Trail du Mont Blanc et Trail du Sancy
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15 Septembre 2009 - Jean-Pierre FORICHON
Ultra Trail du Mont Blanc et Trail du Sancy
Comme promis, voici un peu de lecture avec les résumés de Jean-Pierre Forichon:

Ultra-trail du Mont-BlanC

28 au 30 Août 2009

Jean-Pierre FORICHON

 

 

Chamonix : 16h45 Il est l’heure de la dépose du sac relais. Cette année, je souhaite être bien placé sur la ligne de départ et ne veux pas renouveler les expériences passées. Partir dans les derniers a son charme, mais aussi ses contraintes……..De fait, je me dirige directement sur la ligne de départ. Si la zone est noire de monde, coureurs et accompagnateurs sont assis par terre et assez distants les uns des autres. Sans trop forcé la politesse, je m’infiltre pour n’être qu’à 5 m du sas ‘’élite’’. Il ne reste plus qu’à attendre. Les nuages bas s’amoncellent en fond de vallée. Mauvais signe……..

            18h30 : top départ. Le passage de la ligne ne demande que quelques secondes et déjà on trottine. Bien qu’assez étroite du fait de la foule dense, la traversée urbaine ‘’passe’ bien  et rapidement je me cale sur l’allure de croisière. Je rejoins Les Houches en compagnie de Karine Herry. Dans les journaux locaux, elle racontait qu’un sac de 2 kilos (mini du règlement) était trop lourd compte tenu de sa morphologie……….. Que devrais je dire du mien ??????? Nous ne sommes pas dans la même cour !!!!!!!!! Bien évidemment, dès l’attaque du col de Voza, elle me dépose……..Nous sommes sensiblement à la 250è place. Pour l’anecdote, je la revois le dimanche après-midi, attelée à 2 béquilles avec un genou bleuâtre et gros comme ça……… Renseignement pris, elle s’est ‘’vrillé’’ un genou en descendant sur Saint-Gervais (km18) et a poursuivi sa route jusqu’à Trient (km 138)…….. Comme quoi, même les médecins ne sont pas raisonnables….Fin de commentaire.

Mon programme est simple : courir ou trottiner tant que faire se peut, marcher à bon rythme le reste du temps et descendre très prudemment sur St-Gervais et Les Chapieux. Mon plan d’alimentation étant bien rodé, je m’applique à le respecter scrupuleusement.

            Col de Voza : Le Mont-Blanc se cache dans la brume. Dommage pour les photos…. L’air frais perce au travers du maillot imbibé de sueur. Le CP sera franchi sans attente contrairement à l’an passé.

            Col de la Charme : Maintenant, il faut se laisser ‘’glisser’’ jusqu’à St-Gervais (que l’on aperçoit tout en bas), se laisser entourer par la forêt et aussi se laisser envahir par l’obscurité. Les lampes sortent des sacs et la longue procession des lucioles commencent. Début de la première nuit………. Sur les pistes d’alpin, j’ai ralenti la cadence et ménagé les talons. Fort des 2 expériences passées, je privilégie la prudence

Saint-Gervais : 21h08 – km 21 – 448è. La foule nous encourage. Un rapide arrêt pour le plein des bouteilles, un verre de coca et je grappille de la nourriture que je stocke dans le gobelet en attendant de la manger en marchant lors de la traversée de ville. Cap sur Les Contamines par le fond de vallée en compagnie plus ou moins lointaine du torrent. Partout où les chemins empruntés rejoignent routes et villages, les spectateurs sont nombreux. Pas après pas, la procession avance vers la prochaine étape. Globalement, je suis mon tableau de marche.

            Les Contamines : 22h44 – km 31 – 520è. Même processus que précédemment. Comme la fraîcheur est supportable (et l’activité encore dense), je ne m’habille pas plus. Nous remontons toujours la vallée. Le col ; il est là-haut………Un nouveau chemin nous mène à la chapelle de Notre Dame de la Gorge. Ensuite, commence la voie romaine et notre calvaire car la pente est raide. Quelques gouttes de pluie apparaissent ………. Prendre ou ne pas prendre le Goretex ?????? Tant que celles-ci sont disparates, je prends le risque de ne rien mettre.

            Refuge de la Balme : 00h30 – km 39 – 634è. Dernier lieu de vie avant …………Je pose le sac quelques instants, m’assois pour déguster une soupe brûlante, avaler une banane et quelques carrés de chocolat. Le chemin devient sentier et nous attaquons la montagne.

            Col du Bonhomme : Au sommet, c’est la purée de pois…….A peine 5 m de visibilité.

Le groupe électrogène du contrôle se fera entendre avant d’apercevoir les projecteurs…. Surtout ne pas quitter les talons de celui qui vous précède. Le halot de la lampe atteint le sol mais de manière confuse et masque les inégalités. Alors prudence.

            Col de la Croix du Bonhomme : 02h03 – km 45 – 632è. Le brouillard est encore plus dense. Dire qu’il ya le refuge en bord de sentier et que l’on passera sans le voir ……..avant d’attaquer un morceau de bravoure :.la descente des Chapieux. De jour, par temps sec, ce n’est pas franchement une partie de rigolade. Dans le brouillard, ce ne sera pas la joie.. Heureusement, les orages reçus à Chamonix les jours passés n’ont manifestement pas franchi la montagne. Je ne m’en plaindrai pas …Pas de glissades sur les fesses, cette année……..

            Les Chapieux : 03h07 –> 03h36 –km 50 – 724è. Le brouillard fait place à quelques bancs de brume. J’ai marché durant toute la descente, perdu des places et du temps ………. Mais je veux arriver à Courmayeur sans problèmes aux pieds. Même si depuis 4 mois, la combinaison ‘’semelle-chaussette-chaussure’’ ne m’a pas occasionné de dégâts, je ne suis pas rassuré pour autant. Ici, le terrain est tellement particulier pour ne pas dire traître. Pour l’heure, je ne ressens aucun signe. Arrêt repas sous chapiteau puis brin de toilette au chaud pour se ‘’dessaler’’. C’est revigorant. Départ en courant vers La Ville aux Glaciers puis marche forcée jusqu’au col de la Seigne que l’on atteint de nouveau dans le brouillard. La casquette a fait place au bonnet.

            Col de La Seigne : 05h39 – km 60 – 708è. Passage en Italie. Un vent glacial à décorner les bœufs nous accueille….Je salue le courage des bénévoles du CP car passer la nuit dans ces conditions ne doit pas être agréable. La montagne se mérite …… Dés l’amorce de la descente, j’enfile et le Goretex et les gants. Je ne les poserai que bien plus bas. Aux abords du refuge Elisabetta, l’aube se lève. Première nuit passée à la belle étoile (le terme choisi ne reflète pas exactement la réalité).

Lac Combal : 06h32 – km 65 – 769è. Au ravitaillement, je range coupe-vent et gants. Le soleil pointe son nez et le vent se fait plus calme. Ce ne sont pas encore les grosses chaleurs mais l’heure est matinale. Depuis peu, je ressens les prémices d’une ampoule au talon droit mais je décide d’attendre Courmayeur et ses infrastructures pour panser. Mauvais signe……..Pour l’heure, la gène n’est pas importante et ne m’empêche pas de courir mais la lésion étant installée, chaque pas ne fera que l’amplifier. Penser qu’il ne reste qu’une ‘’mauvaise’’ descente et que la mécanique ne tiendra pas est assez dur à avaler…….Après Courmayeur, il reste encore bien évidemment d’autres descentes mais je les trouve nettement moins pentues.

            Arête du Mont Favre : 07h36 – km 69 – 716è. La montée se fera à bonne allure sous le soleil et vent frais. Le ciel dégagé permet l’observation du Mont-Blanc et du glacier du Miage. Le large (relatif) sentier et le profil descendant permettent de rejoindre rapidement le col Chécrouit.

            Col Chécrouit : 08h17 – km 73 – 719è. J’avale un verre de coca, remplit une gourde et repart aussitôt. Courmayeur s’aperçoit tout en bas. Contrairement aux années passées, nous obliquons sur le versant gauche du vallon. Au lieu des pistes de ski et d’un chemin en plein soleil, les organisateurs ont dégoté un sentier des chèvres assez ‘’sympa’’ au milieu de la forêt. Manifestement, l’aménagement doit être récent tant nos pas soulèvent de poussière parmi les très nombreuses marches et lacets. De plus, ils n’ont pas fait dans la dentelle car la hauteur de certaines avoisinent les 50 cm. Pas de pitié pour les petits gabarits…………Le 2è talon montre des signes de faiblesse malgré toute la prudence accordée dans ce secteur.

            Dolonne : Arrêt à la fontaine publique pour laver les bâtons et les mains que la transpiration rend poisseux. Ce bourg est toujours aussi merveilleux à traverser. Les murs de pierre, les toits de lauze et les géraniums aux balcons lui confèrent un charme authentique.

Courmayeur : 09h11 –> 10h08 – km 78 – 759è. Base vie = sac complémentaire. Je me dirige directement vers le vestiaire pour un brin de toilette et soigner mon ampoule. Un coup de ciseau en travers pour purger le liquide et un morceau de pansement par-dessus feront l’affaire pour l’une. Quant à la seconde, je ne la regarde pas. Puis direction le repas (pâtes et saladière) avant de ‘’refaire’’ les sacs. Pratiquement une heure d’arrêt. Que le temps passe vite …..Traversée de la ville sous les encouragements du public et direction Bertone sur la cime surplombant le tunnel du Mont-Blanc. Le soleil cogne moins fort que l’an passé et je ne viderai pas les bidons au cours de l’ascension.

            Refuge Bertone : 11h28 – km 82 - 727è. Boisson rapide et plein des bidons. Encore quelques dizaines de mètre à gravir avant de rejoindre le sentier des crêtes et serpenter parmi les rhododendrons. Globalement, cette portion est plate (si tant est que le plat existe en montagne) et permet de se refaire une santé. Nous traversons 2 fermes d’estive où l’odeur contraste avec tout ce que nous avons senti jusqu’à présent. Il y a nature et nature …….

Refuge Bonatti : 13h05 – km 90 - 735è. Arrêt soupe + coca. Le soleil brille toujours mais le vent omniprésent ne lui permet pas de réchauffer l’atmosphère. Poursuite du sentier en balcon avant de rejoindre le fond de vallée. La deuxième ampoule se fait plus présente et la forte déclivité n’arrange rien. Il faudra soigner.

            Arnuva : 14h18 – km 94 - 741è. Nourriture puis opération ‘’soins pédestres’’ sous l’objectif d’une caméra. Je n’ose imaginer la réaction du milieu médical en visionnant le film………. A partir de cet instant, les jeux sont faits….. Connaissant et l’évolution des lésions et les douleurs ressenties lors de chaque pas, je projette de rejoindre la Suisse tranquillement et de jeter l’éponge. Innocemment, le choix n’est pas anodin : faire autant que l’an passé mais plus vite …….Il est inutile d’endurer encore 70 kms……. Passe pour 5 ou 10 mais pas 70. Décidemment, ce terrain vraiment spécial contrariera tous les espoirs placés depuis des mois dans une nouvelle préparation. De tous les kilomètres parcourus sur tous terrains, jamais je n’aurai rencontré ce problème. Chamonix et le Mont-Blanc me maudissent…………Sans doute ne suis-je pas le seul…….. ??

            Col Ferret : 16h02 – km 99 - 755è. Passage en Suisse. Dans la montée, les jambes flanchent. Efforts répétés des ascensions vécues au pas de charge ou effet négatif de la douleur, je me traîne jusqu’au sommet. Pour ne pas prendre froid durant la descente, je prends le coupe-vent et les gants. Il n’est que 16h00. Et ce sera en marche tranquille et en mangeant beaucoup que je rejoindrai La Peule. Je me sens vidé………

            La Peule : Le ravitaillement n’existe plus. Seul subsiste cette année un robinet d’eau.

 Encore quelques kilomètres de sentier à flanc de colline avant le terminus choisi. Bizarrement, j’ai l’impression que peu de participants ne me dépassent alors que je suis sensé être dans la tranche 36 – 40 heures et que cela représente une forte proportion d’arrivants.

            La Fouly : 18h07 – km 108 et + 5 500 m (soit 23h37’’ de course) - 796è. Peu avant d’arriver, je croise Gilles (Lassimone) venu encourager Bernard (Miton) pour sa  première participation. (Je ne le saurai que plus tard mais Bernard a également les pieds bien abîmés alors que, multi-récidiviste de La Réunion, jamais il n’était revenu dans cet état………). Je m’arrête quelques minutes, le temps de lui signaler ma décision (qu’il feint de ne pas comprendre pour m’encourager à poursuivre). Passage au CP pour le pointage obligatoire puis direction le stand pour manger un peu avant de déclarer forfait. Les formalités effectuées, je me dirige vers la navette de Chamonix via Champex. L’aventure est terminée ……

 

Quelques mots également pour souligner les performances des coureurs locaux :

-         sur l’UTM - 166 km et + 9 400 m : Bernard MITON : 44h10 – 1072è / 1383 classés / 2300 partants

-         sur la TDS - 105 km et + 6 700 m : Benoît LUCHEZ (EAMYA) : 19h53 – 88è

    Patrick PERRIER : 24h52 – 273è/ 480 classés / 632 partants

-         sur la CCC - 98 km et + 5 600 m : Andrée FORICHON : 24h34 – 948è /1266 classés / 1800 partants

 

Bravo pour leurs performances respectives.


Ultra-trail du SANCY

12 Septembre 2009

Jean-Pierre FORICHON

 

 

            Le Mont-Dore : 07h00 . Le jour tarde à se lever lorsque le départ est donné. A peine 500 m de plat que l’on attaque la colline en direction du Salon du Capucin. Quelques concurrents sont équipés de lampes frontales. La montée étire le groupe mais personne ne double. Chacun semble s’être bien positionné (ou du moins patiente dans la file). De la station de fond, cap sur La Bourboule par un  large chemin.

La Bourboule : Passage en zone industrielle avant de reprendre la grimpée en forêt sous la Banne d’Ordanche.

Banne d’Ordanche : km 13 - Le chemin a cédé sa place aux pâturages et c’est à travers champs que nous rejoindrons le Puy Loup. Attention à la descente dans les mottes d’herbes et les taupinières. Le profil descendant et les bons chemins autorisent une hausse du rythme.

Col du Guéry : 10h00 – km 25 - Rapide remplissage des bouteilles car le prochain arrêt est assez proche. Bref passage dans la civilisation. Montée au Puy de Combe Perret avant d’emprunter la sente de liaison du lac de Servières. Particularité des sentiers auvergnats : ils sont très étroits, encaissés, sinueux et les herbes latérales masquent les pièges. De par nature, ils imposent la prudence et ne permettent pas trop les vitesses rapides sous peine de sortie de route……..

            Lac de Servières : les pécheurs, surpris de voir tant de monde, sont à pied d’œuvre, cuissardes au pied. Le soleil hésite à sortir. Place maintenant aux chemins forestiers pour rejoindre Pessade.

            Pessade : 11h00 – km 34 - Ravitaillement sur la place publique………… Une soupe chaude, un coca et quelques morceaux de 4/4 accompagnés de carrés de chocolat combleront l’estomac. Point de mi-parcours mais pas de mi-temps. Un rapide calcul mental donne entre 9 et 10h00 de temps total compte-tenu que la 2è section paraît sur carte nettement plus accidentée que celle vécue. Départ par les pistes de fond (ou chemins agricoles) en direction du col de la Croix Morand (via le puy de Baladou) en compagnie d’un clermontois. Nous ferons route commune quelques kilomètres avant que je ne le lâche. J’hésite à poser un maillot car le temps ne s’arrange guère. Bien m’en voudra car nous allons plus voyager sur les crêtes que dans les bosquets et le vent frais souffle toujours.

Col de la Croix Morand : 12h00 – km 43 - Remplissage des gourdes. Les longs plateaux cèdent leurs places aux successions de puys. Pas moins de 4 d’ici le col de la Croix saint Robert dont le fameux Puy de l’Angle et sa descente dans la caillasse.

Col de la Croix Saint Robert : 13h00 – km 49 - Arrêt repas plus consistant pour contrer les dépenses énergétiques à venir. Un groupe de randonneurs arpente les mêmes chemins que nous. Ce sera bien les seules personnes rencontrées hors des zones habitées. Ascension du Roc du Cuzeau et poursuite en direction du Puy des Crebasses. Le parcours se fait plus aérien…..et il ne faudrait pas avoir un malaise…….. sinon seul l’hélicoptère ne pourra venir si tant est que l’on vous ai vu tomber……….Descente vertigineuse de 650 m pour rejoindre le fond de la vallée de Chaudefour et le chalet Ste-Anne. De là, il faut bien remonter et le sentier sera plus technique. Un empilage chaotique de blocs de basalte sur plusieurs centaines de mètres impose de ranger les bâtons. Toujours en forêt, serpentant entre les arbres, la remontée vers la plaine des Moutons et le Puy de la Perdrix sera longue. Pourtant, je rattrape un concurrent connaissant le secteur. Il me sera d’une aide précieuse en annonçant les distances restantes.

Puy de la Perdrix : km 60 - Plus nous montons, plus le brouillard se densifie. Tout juste apercevons-nous les câbles du télécabine au dessus de nos têtes……..Le vent souffle si fort sur ces cimes que les casquettes risquent de s’envoler à tout moment et les rafales arrivent à nous déporter……..L’an dernier, seuls les premiers sont passés ici, les conditions étaient pires… Dire qu’au briefing matinal, l’organisateur annonçait beau temps ……. Que doit être le mauvais temps … ?????…. !!!!!!

Col de la Cabane : Le P.G.H.M. tient le ravitaillement de secours. Ils se sont placés à l’abri d’un talus. Prévenants, ils nous demandent de bien manger. Mais ne tenant pas à rester longtemps ici, je réponds que mes réserves (dans le sac) sont importantes et repars avec quelques morceaux de chocolat. Je laisse mon collègue sur place. Manifestement, la montée a laissé des traces. Attaque de la dernière montée dans la rocaille pour atteindre la table d’orientation du Puy de Sancy. Dieu que par endroits, les marches sont hautes………Le point de vue doit être magnifique mais nous ne verrons strictement rien, tout au plus où nous posons les pieds. Cela vaut sûrement mieux car les précipices latéraux doivent impressionner…. Si les marches dans la caillasse ne sont pas agréables, celles en bois de la descente ne le sont pas plus. Rien de comparable avec celles posées sur les arrières du Puy de Dôme….Direction le Pas de l’Âne puis la Tour Carrée par le GR 41 et délaissant la sente du Val de Courre sur notre droite, nous remontons le Puy de Cliergue pour enfin dévaler l’autre versant en jouant à saute-moutons avec les rondins de l’aménagement en cours. Une dernière portion de chemin rejoint les burons du Capucin où l’on retrouve la route de Bozat. Place à la descente…… Les chevaux sentent l’écurie et se lâchent avec plaisir sur les derniers kilomètres, d’autant que l’on perçoit le bruit des animations.

Le Mont-Dore : 16h24 – fin de la ballade de récupération. 09h24 de course et + 2 500 m – 49è / 144 - Les dernières pentes ont quelque peu attaquées les cuisses….mais elles vont bien s’en remettre …. Fourbu mais heureux de l’absence de dommages.

 

 

Quelques mots également pour souligner les performances des coureurs locaux :

-         Benoît LUCHEZ (EAMYA) : 08h44 – 31è

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Enfants nés de 2013 à 2017,
le 
mercredi de 10h à 11h30 à Yzeure (stade du Champ Daillant),
le mercredi de 
14h00 à 15h30 ou de 15h30 à 17h00 au Stade Hector Rolland à Moulins  


Reprise le mercredi 13 septembre 2023



Benjamins et minimes 1 :

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Nés de 2010 à 2012, 

Les mardis et vendredis de 17h30 à 19h00.



Reprise le mardi 05 septembre



Minimes 2, Cadets et au delà : 

Encadrement : Arnaud Combet, Laurent Trompat, Thierry Quiret, Jean-Pierre Daranjo, Franck Colomb, Jean-Claude Salignat, François Peigue et Mickaël Bellec

Nés en 2009 et avant

1/2 fond/Trail : lundi, mercredi et vendredi de 18h à 19h30 au stade Hector Rolland à Moulins. Les dimanches à 9h30 aux Ozières

Sprint/Haies : lundi de 17h30 à 19h00 (haies), mercredi de 17h00 à 18h30 et vendredi de 17h30 à 19h30

Longueur/Triple saut : lundi et jeudi 17h45/19h30

Cadets et plus et Suaps : lundi et jeudi de 18h00 à 20h00
Séance du mardi : 17h30 à 19h30 (aérobie + ...)
Parcours athlétiques (semaine 1)
Marche (semaine 2)
Lancers (semaine 3)
Hauteur (semaine 4)

Reprise :
- le mardi 22 août : 1/2 fond
- lundi 28 août : Sprint/Haies, cadets et plus et Suaps
- lundi 04 septembre : 1/2 fond/Trail



Section loisirs running :

Encadrement: Arnaud Combet, Luc Leprince, Jean-Claude Salignat


Mardi et jeudi à 18h30 à 20h

Mercredi de 18h15 à 19h45 (non débutants)


Reprise :
- le mardi à partir du 12 septembre,
- le mercredi à partir du 13 septembre,
- le jeudi à partir du 14 septembre


Section athlé santé : 
Encadrement : Arnaud Combet et Fabienne Chalmin 

Marche nordique le lundi de 14h00 à 16h00, mercredi de 10h à 12h00 et de 17h00 à 19h00, vendredi de 17h00 à 19h00

Reprise :

- le mercredi à partir du 06 septembre au champ Daillant à Yzeure et le lundi à partir du 11 septembre au stade à Moulins pour la marche nordique.
- le jeudi 14 septembre 2023 pour la remise en forme.

Renseignements au
06 12 23 90 44


 

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